Les trois organisations dénoncent une stratégie de “pied dans la porte”. En effet, les travaux de l’installation nucléaire (bâtiment, système des eaux usées…) pourraient commencer alors même que le projet des deux nouveaux réacteurs n’est pas encore validé.
Si le projet des EPR2 n’est pas validé, les travaux auront alors été inutiles.
La défense d’EDF se situe dans le caractère urgent et nécessaire de la sauvegarde du parc nucléaire français.
Greenpeace le sait, mais se demande si le jeu en vaut la chandelle, si l’État français ne se précipite pas avec son plan de relance du nucléaire. Étonnant quand on sait que notre retard est en partie dû à un long discours antinucléaire dont la figure majeure est justement…Greenpeace.